Le fait que le tarot raconte une histoire et que les cartes soient assimilées au consultant et/ou des moments de sa vie, ne fait aucun doute. Pour le reste, ce que j’appelle « c’est l’histoire d’un mec… » ou, plus pompeusement, mandala du tarot, c’est une affaire d’interprétation. Je vous livre ici celle de Julien Behaeghel.
Du mandala, par Julien Behaeghel
Introduction
Vous connaissez mon affection et grand respect pour celui qui fut incontestablement un de mes « maître à penser », Julien Behaeghel.
Pas étonnnant dès lors de le retrouver régulièrement dans cette rubriques de citations.
Histoire de vous inciter à la lecture de l’un ou l’autre de ses ouvrages. Voir bibliographie.
Avant d’aller plus loin dans des maths et du tarot, visionnez ci-dessous « la » capsule dont je suis le plus fier 🥇(ego, quand tu nous tiens !).
Ensuite, analysez la photo ci-dessous.
Enfin, la petite réflexion de clôture.
Il ne vous restera plus qu’à ruminer.
Rumination
L’absence du Mât et du Monde s’explique par le fait que l’un mène à l’autre.
Elles se retrouvent au centre. Double point de départ et d’arrivée.
L’intérêt essentiel à mes yeux de ce mandala repose sur la thématique des éléments.
Les amateurs d’astrologie apprécieront.
Le tarologue débutant y trouvera un point d’accroche intéressant pour appréhender les cartes sous l’angle de l’énergie qui s’en dégage principalement.
Avec d’intéressantes pistes de réflexion.
* Ainsi, l’Etoile est-elle présentée davantage sous son aspect mental qu’émotionnel.
* Ou encore, l’Impératrice qui se voit rayonner au niveau de sa couronne, tel un début d’incendie.
* Quant à la Papesse, c’est son souci avec la gestion des émotions qui est mise en avant.
Etc, etc.
Quelques minutes de méditation réflexive … Joie du tarot, monde sans fin !
L’objectif de cet article est de vous permettre d’ouvrir le champ de vision sur l’ensemble des cartes. Et comprendre une bonne fois pour toutes que le tarot est un tout, que les cartes n’ont de sens que reliées les unes aux autres. Peu importe la présentation.
Quant aux notions de début et de fin, les valeurs philosophiques qu’elles sous-tendent primeront sur la recherche d’indices dans les cartes. Vous connaissez mon avis personnel : ronde karmique du chien du Mât qui est la mandorle du Monde. Et inversément.
Pour revenir sur la proposition de Julien Behaeghel, vous la trouverez détaillée dans son incontournable : Voyage au coeur du symbole, page 42. Voir bibliographie.
La suite de l’article arrive tout bientôt.
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